RELEVÉS MINIERS : PAS LE DROIT À L'ERREUR

Quand on fait de la topographie sur l’un des plus grands gisements de nickel au monde, on connaît la valeur ajoutée des données collectées. Et quand on est topographes professionnels, comme AB concept, il y a des erreurs qu’on ne commet pas.

La première, c’est d’imaginer qu’il suffit de savoir piloter un drone pour savoir faire de la topographie de masse. Non ! Utiliser cette technologie sans une méthodologie en béton, c’est un peu comme pêcher le mahi mahi avec des aiguilles à tricoter. Étant les premiers à s’être formés et avoir proposé la topographie télépilotée en Nouvelle Calédonie, nous sommes bien placés pour l’affirmer. À quoi bon demander et payer la haute-précision si c’est pour se retrouver avec des imprécisions de volumes qui peuvent compromettre une prospection, ou engendrer des défauts d’exploitation ?

Deuxième erreur : sous-traiter l'analyse des données à l'autre bout du monde. Chez AB, on n'expose pas nos clients à ce risque sur la traçabilitié et la confidentialité d'informations économiques stratégiques. On travaille les relevés dans nos bureaux de Nouméa et pas ailleurs.

Troisième erreur : livrer les orthophotos et considérer que le boulot est terminé. Pas chez AB, qui conserve les levées quatre ans sur ses serveurs sécurisés, et les tient à disposition de ses clients.

Non, vraiment, pour la topo, y’a pas photo, demandez aux pros !